Innolab vous accompagne à chaque étape de votre projet 

Inno­lab France, la branche française d’Innolab Bel­gique, est un lab­o­ra­toire et un cen­tre de recherche à taille humaine, qui accom­pa­gne ses clients (indi­vidu­els, col­lec­tifs, agricul­teurs, indus­triels, col­lec­tiv­ités, lab­o­ra­toires…) depuis plus de quinze ans à tra­vers des presta­tions d’analyses, de con­trôle, d’audit, de con­seil, de for­ma­tion et de R&D dans les domaines liés à la val­ori­sa­tion de la biomasse.

Quels sont les procédés de pro­duc­tion d’énergies renou­ve­lables que vous super­visez et accom­pa­g­nez à tra­vers vos domaines d’expertise ?

Notre méti­er con­cerne les procédés de val­ori­sa­tion de bio­masse au sens large, pour pro­duire des bio-fer­til­isants, de l’énergie ou d’autres pro­duits de haute valeur ajoutée (économique et envi­ron­nemen­tale). Nous avons plus de quinze ans d’expérience dans les procédés de traite­ment des eaux usées et de la méthani­sa­tion, surtout en ce qui con­cerne la pré-fais­abil­ité des pro­jets, l’étude des sub­strats et de la recette, le suivi ana­ly­tique et biologique, et l’accompagnement des sites de méthani­sa­tion de tous types et de toutes tailles à tra­vers nos con­seils fondés sur les analy­ses et le retour de l’exploitant et de l’exploitation. Récem­ment, par le biais des pro­jets européens et des mis­sions R&D publiques et privées, nous avons entre­pris le tra­vail sur la gazéi­fi­ca­tion, la méthani­sa­tion biologique et la pro­duc­tion de microalgues. L’idée est d’élargir les pos­si­bil­ités et les capac­ités de la méthani­sa­tion en la cou­plant avec d’autres tech­nolo­gies et de faire vari­er les sous-pro­duits de la méthani­sa­tion (pas seule­ment les CH₄, CO₂ et digestat).

Quelles presta­tions pro­posez-vous aux agricul­teurs, notam­ment en ce qui con­cerne le suivi des instal­la­tions de méthanisation ?

Nos presta­tions, analy­ses, audit, con­seil et accom­pa­g­ne­ment sont qua­si­ment toutes pro­posées aux agricul­teurs en charge de sites de méthani­sa­tion agri­cole. Pour le suivi des sites, il est pri­mor­dial de tra­vailler en étroite col­lab­o­ra­tion avec eux, car ils sont les exploitants de leurs sites. Suiv­re la qual­ité des sub­strats et com­pren­dre sa fluc­tu­a­tion (fumi­er, lisi­er, CIVE, refus de cul­tures et autres) sont les piliers d’une bonne exploita­tion de site. Nous cher­chons à sim­pli­fi­er les infor­ma­tions de nos analy­ses et le com­porte­ment biologique des sites en accom­pa­g­nant les agricul­teurs car ce sont eux qui sont sur site.

Dans votre éven­tail de presta­tions, vous pro­posez égale­ment des for­ma­tions. Cer­taines sont-elles des­tinées aux agricul­teurs qui voudraient se for­mer à la méthani­sa­tion (pré­pa­ra­tion des intrants, super­vi­sion micro­bi­ologique, etc.) ?

Oui, bien sûr, nous organ­isons régulière­ment des for­ma­tions en col­lab­o­ra­tion avec les cham­bres d’agriculture, les four­nisseurs, les con­struc­teurs, les bureaux d’études, les maîtres d’ouvrage etc., et de plus en plus de for­ma­tions à l’initiative des agricul­teurs eux-mêmes, d’un seul ou d’un petit groupe­ment d’agriculteurs-méthaniseurs ou de futurs méthaniseurs.